Certains fans de Dragon Ball l’attendaient de pied ferme et d’autres comme moi, moins de peur d’avoir un copier-coller du premier avec quelques améliorations. Alors est-ce que Namco et Dimps ont relevé le défi ?
Graphiquement :
Graphiquement le jeu reste plus ou moins le même sauf pour les FPS qui sont à 60 constant ! Que ce soit dans la ville ou en combat les 60 FPS seront toujours là et franchement c’est rafraichissant. Les murs invisibles sont toujours présents et la caméra fait toujours des siennes même si j’ai pu noter une amélioration.
L’histoire :
C’est ici pour moi le gros point faible du jeu. On débute de la même manière que le premier opus. On choisit notre avatar entre Namek, Saiyens, Humains, Race de Freezer et Majin (Buu). Puis nous le personnalisons, coupe de cheveux, yeux, etc, etc… Puis bienvenue à Coton City. Cette fois-ci la ville (HUB) est 7 fois plus grande ! Heureusement pour nous, nous avons un véhicule voir même des portail de téléportation pour nous déplacer. Dans cette ville nous retrouverons exactement les mêmes boutiques où bâtiments qui vous permettrons de faire les quêtes secondaires en ligne/hors ligne ou encore de faire du PVP. Vous retrouverez aussi les personnages qui débloqueront des entrainements pour apprendre des nouvelles techniques comme le premier épisode. C’est bien le gros problème du jeu c’est qu’il est vulgairement un copier/coller du premier opus : On incarne un Policier chargé d’aider la Kaïo-Shin du temps pour contrer Mira et Towa, les deux méchants de l’opus, qui tentent de bouleverser l’histoire originale de la licence. Heureusement il y a un grand nombre de quêtes secondaires notamment dans la ville qui vous feront passer un agréable moment notamment en temps de jeu.
Les combats :
Les combats sont clairement plus dynamiques et c’est en parti grâce aux 60 FPS. Les combos de bases sont facile à rentrer mais certains demanderont vraiment d’être plus exigent surtout contre un autre joueur. Il ne faudra pas spamer comme un débile. Xenoverse 2 ajoute des missions jouables à 6, pour corser un peu l’affaire avec des ennemis beaucoup plus résistants et des phases de jeu en corrélation avec la puissance présumée des adversaires, qu’il s’agisse de Broly, Thalès « énervé » ou bien encore les variantes singe géant des Saiyens. Ici le combat devient plus intéressant car il ne faudra pas forcément seulement taper comme un fou sur l’adversaire mais par exemple se jeter sur un Kamehameha adverse pour limiter les dégâts de groupe. Pour les gros singes attraper leur queue pour les affaiblir et ainsi de suite.