Après une longue attente GRID est de retour sur le devant de la course. La licence de Codemasters est attendue au tournant !
GRAPHISME :
Comme d’habitude ce n’est pas le plus important et j’insiste là-dessus. Mais ! GRID n’est pas le plus beau jeu de course que j’ai vu. Il y a malheureusement de l’aliasing, très surpris surtout sur un jeu de course sur circuit fermé. Cependant pour le reste les lumières sont super belle et il y a énormément d’animations pendant la course, comme le public qui est présent, des vagues sur des courses proche de la mer ou pour finir des fumigènes ou encore feu d’artifice sur la ligne d’arrivée. Sans vous faire péter la rétine GRID arrive à rendre la course très vivante avec toutes les animations qu’il y a autour.
GAMEPLAY :
ARCADE ! C’est de l’arcade, et avec une très grande adhérence, vous n’allez pas drifter comme sur un ridge racer ou même comme sur GRID 2. La conduite arcade on accroche ou pas mais pour le coup le plaisir est immédiat ! Cependant même si le jeu revendique son côté arcade il y a un côté précision et « simulation » à prendre en compte. Le poids des différents véhicule pourrais vous faire faire un tête-à-queue si vous accéléré trop vite en sortie de virage. De nombreuses options sont mises à votre disposition afin de rendre la conduite plus ou moins compliquer.
Côté IA encore une fois c’est de l’arcade et selon les options choisies vous aurez la possibilité de la jouer destruction derby ou non avec les dégâts ou non. Mais attention L’IA répond au coup donné et vous risquerez de vous faire un ennemi sur la piste.
CARRIERE :
C’est ici le point faible du jeu. Une carrière courte et trop simpliste. Vous allez malheureusement enchainer les courses bêtement sous vous prendre la tête sana avoir à gérer quoi que ce soit… Vous avez le choix entre six types de compétitions (Touring, Stock, Tuner, GT et les épreuves Fernando Alonso et Invitational), que l’on peut aborder dans n’importe quel ordre. Chacune de ces catégories propose une suite de petits championnats, qui se déroulent sur trois ou quatre courses et si l’on atteint l’objectif, on peut passer au championnat suivant. Le plaisir de cette carrière est d’enchaîner les courses avec un bon nombre de voitures différentes, comme passer d’une Ferrari à un muscle car.